HEADLICE – « SUPER RAPIDE & CURIEUX »

Interview (2 min 30), 2018

RÉALISATION / MONTAGE : OLIVIER HÉRAUD
AVEC : THOMAS WALSER, OLIVIER HÉRAUD
CHEF OPÉRATEUR : THOMAS WALSER
© 2018. TOUS DROITS RÉSERVÉS

HEADLICE – « LAST CHRISTMAS » (WHAM! COVER)

Carte de voeux (1 min 50), 2018

RÉALISATION / MONTAGE / MIXAGE : OLIVIER HÉRAUD
AVEC : THOMAS WALSER, OLIVIER HÉRAUD
CHEF OPÉRATEUR : THOMAS WALSER
ASSISTANT CAMÉRA : DAVID RAVEL
PRISE DE SON : NICOLAS NOVA
© 2018. TOUS DROITS RÉSERVÉS

HEADLICE Vs. RAP

Mockumentary (2 min 30), 2017

Headlice Rap
HEADLICEVsRAP_NASGETDOWN_GIF_Site

RÉALISATION / MONTAGE / MIXAGE : OLIVIER HÉRAUD
AVEC : THOMAS WALSER, OLIVIER HÉRAUD
CHEF OPÉRATEUR : THOMAS WALSER
ASSISTANT CAMÉRA : DAVID RAVEL
PRISE DE SON : NICOLAS NOVA
© 2017. TOUS DROITS RÉSERVÉS

[ INTERVIEW ] 

Bonjour Stéphane, bonjour Bruno…
Stéphane : Bonjour.
Bruno : Bonjour.

Qui est Stéphane, qui est Bruno ?
Bruno : Stéphane, c’est lui. Moi je suis Bruno. Mais c’est pas si simple que ça.

Votre groupe s’appelle « Headlice »… Ça vient d’où ce nom ?
Bruno : Ça vient d’une dame qu’on a croisé dans la rue alors qu’on se rendait à la bibliothèque pour rendre des livres.
Stéphane : Et en prendre d’autres !
Bruno : Et en prendre d’autres oui. C’était il y a… 5 ans à peu près. Elle s’est approchée de nous, s’est léchée les doigts avec sa langue et a posé sa main dans les cheveux de Stéphane en chuchotant des insanités à propos de Jésus, tout ça… Deux jours plus tard, bingo, il souffrait le martyre et sa maman nous a dit qu’il avait des poux. J’ai tout de suite pensé que c’était un signe ! J’ai regardé sur internet comment on disait « poux » en anglais, et voilà ! Je dois dire qu’on a eu une sacrée chance sur ce coup-là. Je veux dire, c’est vrai… « Headlice » c’est frais et ça sonne super cool, mais ça aurait pu être bien pire. Quand j’y pense, cette femme… elle crachait du sang quand même.

Parlez-nous de vous, vous avez commencez un peu par hasard je crois…
Bruno : Oui, en effet, tout à fait par hasard. D’ailleurs je crois que c’est ce qui nous définit… le hasard. C’est ce qui nous a toujours guidé et malgré la réticence que je pouvais avoir au départ, nous avons finalement décidé d’en faire une force et de l’embrasser.

Le hasard ?
Bruno : Non, la dame de la bibliothèque. Elle nous devait bien ça après tous les livres qu’on empruntait !  (Il se tourne vers Stéphane) Comment elle s’appelait déjà ?
Stéphane : Gildas.
Bruno : Voilà c’est ça. Gildas. Elle avait trente-six ans de plus que nous à l’époque et on a chacun vécu une aventure avec elle. Je crois qu’elle avait besoin de ça. Elle disait qu’elle trouvait en nous de quoi satisfaire son incomplétude. J’avoue que j’ai jamais rien capté à ce qu’elle racontait.
Stéphane : Moi non plus.

Vous voulez dire que vous avez eu une relation avec la même femme ?
Bruno : Oui, et en même temps.
Stéphane : Mais c’est un hasard.

Bien, reparlons de musique si vous le voulez bien puisque c’est ce qui intéresse nos lecteurs…
Bruno : Oui, je sais pas… vous ne devriez pas sous-estimer le public, vous savez. Nos fans sont parfaitement conscients je crois que derrière les bêtes de scène qu’ils admirent se cachent des êtres humains. Comme eux, ils ont leurs faiblesses, leurs états d’âme, leurs coups de blues… Je crois que les gens ont envie de ça. Ils ont envie d’entrer dans l’intimité des artistes et voir de quoi ils se nourrissent. « Entrevoir la noirceur de l’âme » comme dirait Jean-Claude Berthelot.

Il est connu ?
Bruno : « Beber » ? Je ne crois pas non.

« Headlice » c’est frais et ça sonne super cool, mais ça aurait pu être bien pire… »

Vous semblez être très conscient de votre image, je me trompe ? Tout est calculé ?
Bruno : Pas du tout. On fait les choses comme on le ressent, et le reste on s’en fou ! Si j’ai envie de vivre ma vie à 100 à l’heure, je le fais. Et si vous trouvez que 100 à l’heure c’est trop rapide pour vous, alors attendez de voir Stéphane ! (Rires)
Stéphane : Quoi ?
Bruno : Je dis que tu vis ta vie à fond la caisse.
Stéphane : Quoi ?
Bruno : Peu importe. Headlice c’est comme les cigarettes : ça se consume vite et c’est sans filtre. C’est ce qui, d’ailleurs, nous a valu une réputation de têtes brulées.

Ah bon ?
Bruno : Oui. « Live fast, die young »… Mais bon, tout ça ce sont des ouï-dire.
Stéphane : Des quand-dira-t-on.
Bruno : Qui vivra verra !
Stéphane : Ainsi va la vie…
Bruno : (Il se met à chanter) La vie ne vaut rien… mais rien ne vaut la vie. Laurent Voulzy.

Alain Souchon.
Bruno : Peu importe.

En parlant de reprises, les vôtres ont toutes en commun une sorte de maladresse… Ça vient d’où ?
Bruno : C’est inné. Mais je crois aussi que c’est important de cultiver une certain degré d’amateurisme dans ce métier. Le mot « amateur » vient d’ailleurs du grec « amateros » qui voulais dire « à moi ma terre »… c’est amusant quand on y pense, non ? Je veux dire… la Terre, notre planète, c’est la mère nourricière, celle qui nous nourrit. Comme quoi ça se tient puisque les artistes se nourrissent de leurs blessures, vous vous souvenez ? (Un temps) Attention, ça va de soi que quand je dis qu’elle nous nourrit c’est de manière indirecte puisque la terre, vous le savez, n’a pas de sein pour donner la tétée.

C’est paradoxal… vous dites ne rien calculer mais qu’à la fois votre côté amateur est voulu ?
Bruno : Oui mais c’est pour justement garder cette spontanéité ! Trop de groupes actuels pensent que connaître toutes les notes vont faire d’eux des superstars. Mais tout le monde sait que c’est faux ! Le public veut pouvoir ressentir des émotions, des trucs imparfaits, un peu bancals… Ils se disent « ça chante faux, mais c’est vivant ! » Le succès de Grégoire (Un chanteur de variété, NDLR) en est le meilleur exemple. L’amateur rassure, et ce type l’a bien compris. C’est pour ça que nous aussi, on essaie de ne pas trop analyser notre musique. Grégoire sait qu’acquérir un certain niveau technique, c’est aussi au détriment d’une certaine fraîcheur.

Et pour vous, ça veut dire connaitre combien de notes ?
Bruno : Oh, je sais pas. Comme ça c’est difficile à dire… Disons entre 7 et 14. Nous on n’en connaît que 4 vous voyez, et ça nous empêche pas de faire de la musique.
Stéphane : Pas 4… 5.
Bruno : Ah bon, t’en as appris une nouvelle ?
Stéphane : Oui, le Do dièse.
Bruno : Cool ! Bah vous voyez je ne savais même pas !

C’est une bonne nouvelle, on dirait ?
Bruno : Oui bien sûr que c’est une bonne nouvelle ! Ça va nous ouvrir tellement de perspectives !

Et bien c’est tout ce que je vous souhaite ! Merci Bruno, merci Stéphane.
Bruno : Merci.
Stéphane : Merci.

 

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HEADLICE, THE STORY BEHIND THE HYPE (TEASER)

Mockumentary (7 min), 2017

Three short teasers of the documentary showing HEADLICE during their debut album recording sessions.
Featuring the songs:
« Don’t you (forget about me) » by Simple Minds
« Come out and play (keep ‘em separated) » by the Offsprings
« Inside » by Stiltskin
HEADLICE is a band that consits of Bruno (lead vocals, ukulele and guitar) and Stéphane (accordion, saxophone and piano).
The documentary will be named « The story behind the hype » and in reality the story behind the band is actually haunting.
The full documentary will be released in 2018.

Happy New Year
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Stephane_Image_Internet


RÉALISATION / SCÉNARIO / MONTAGE : OLIVIER HÉRAUD
AVEC : THOMAS WALSER, OLIVIER HÉRAUD
CHEF OPÉRATEUR : YANN MARITAUD
ASSISTANT CAMÉRA : BENJAMIN GONÇALVES-MARTINS
SON : JULIEN CARITEAU
TOURNÉ AU STUDIO PURPLE SHEEP
© 2017. TOUS DROITS RÉSERVÉS

 

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DAISY LAMBERT – MY PEARL

« Daisy Lambert propose un univers coloré et rafraichissant, à mi-chemin entre une synth-pop aux accents vintage (Giorgio Moroder, Taxi Girl, Sébastien Tellier, Air…), et une chanson française aux références sûres (Chistophe, Daho, Gainsbourg, Bashung ou Katerine). Les morceaux, chantés en français évoquent le plus souvent des fantasmes esthétiques ou des sublimations du quotidien. L’écriture, ludique et légère, est basée sur la musicalité des mots. » lesinrocklabs.com

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RÉALISATION / CADRE / MONTAGE : OLIVIER HÉRAUD
AVEC : DAISY LAMBERT, MAURICETTE SAPHAR, DOUCHKA,
ÉLISE COUDIÉ, LOUISE SAILLARD-TREPPOZ, JULIA CALIN,
ALEXIA MARREQUESTE, CARLA CADROUX, EDDY GUEZE
PRODUCTION : JMZ, TRACTOFILM, DAISY LAMBERT, WMP
LABEL : WORDS OF PUBLISHING // ECHO ORANGE
© 2011. TRACTOFILM

 

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THE MACHINEURS’ DCP SONG

Musique et clip réalisés pour promouvoir le DCP (Digital Cinéma Package) de la société Les Machineurs, compression permettant aux films d’être diffusés en salles numériques.

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RÉALISATION / MONTAGE / SFX : OLIVIER HÉRAUD
AVEC : AIMEE PAVITT, LOLA PRAT, ALICE MASERA, AURÉLIE FONTERME,
EMMANUEL PAMPURI,THOMAS WALSER, VINCENT PINTADO
MUSIQUE : OLIVIER HÉRAUD
ARRANGEMENTS : JMZ
PRODUCTION : TRACTOFILM
© 2011. TRACTOFILM

 

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RANDOM RECIPE – DANGEROUS

Clip réalisé en 3 jours dans le cadre du Festival Off-Court de Trouville en 2010.

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RÉALISATION / MONTAGE / SFX : OLIVIER HÉRAUD
AVEC : VINCENT PINTADO, JANINE PIGUET, MARION BOCQUET-APPEL
MUSIQUE : RADOM RECIPE
LABEL : BONSOUND RECORD
MOYENS TECHNIQUES : LES MACHINEURS
PRODUCTION : OFF-COURT
© 2010.

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